Je m'appelle Jordan Belfort. L'annĂ©e de mes 26 ans, je me suis fait 49 millions de dollars en Ă©tant Ă la tĂȘte de ma propre sociĂ©tĂ© de courtage, ce qui m'a bien Ă©nervĂ© parce qu'Ă deux doigts prĂšs ça m'aurait fait un million de dollars par semaine ». Ainsi commence le blockbuster de lâannĂ©e derniĂšre âLe Loup de Wall Streetâ.LâĆuvre, basĂ©e sur une histoire vraie, a rĂ©veillĂ© de vieilles plaies et provoquĂ© un dĂ©bat vif entre lâassociation de plus de victimes escroquĂ©es par Belfort et le rĂ©alisateur du film, Martin combien de personnes, en sortant du cinĂ©ma, se seront rĂȘvĂ©es dans la peau du jeune courtier qui, au dĂ©but des annĂ©es 90, est devenu millionnaire, souvent par des moyens illĂ©gaux ce qui lâa dâailleurs conduit en prison dix ans plus tard. Au-delĂ du luxe effrĂ©nĂ© et mĂȘme un peu irritant arborĂ© par le personnage jouĂ© par Leonardo DiCaprio, les investisseurs avisĂ©s auraient dĂ» quitter la salle avec quelques leçons bien gravĂ©es dans les esprits. Belfort, qui tient dĂ©sormais des sĂ©minaires sur les stratĂ©gies de vente, dont une pour Morningstar Australie en 2009, rappelle dans ses nombreux essais et articles, Ă©crits aprĂšs la prison, quelques leçons importantes. 1 â Les intermĂ©diaires et courtiers de petite taille ou anonymes sont suspects Mieux vaut ne pas confier son argent Ă un inconnu ou Ă un consultant non affiliĂ© Ă sociĂ©tĂ© de conseil. Il y a des professionnels sĂ©rieux bien que petits, tout comme il y a des pommes pourries dans les sociĂ©tĂ©s avec une grande tradition, mais se fier Ă quelquâun que lâon ne connait pas bien reprĂ©sente un gros risque. 2 - Ne pas sâarrĂȘter Ă leurs propres rĂ©fĂ©rences Si on dĂ©cide de travailler avec un courtier ou un conseiller peu connu, on devrait au moins ĂȘtre sĂ»r de savoir qui va gĂ©rer notre argent. Nous ne pouvons pas sâarrĂȘter aux rĂ©fĂ©rences passĂ©es directement de leur part, il faut avoir des analyses et des avis indĂ©pendantes comme les analyses qualitatives de Morningstar sur les gĂ©rants de fonds communs de placement. 3 â Les informations sur la sociĂ©tĂ© de gestion doivent ĂȘtre solides et claires Avant de se dĂ©cider il faut faire quelques recherches, afin de rĂ©cupĂ©rer des informations sur la sociĂ©tĂ© et lâhistoire de ses responsables. Un prestataire qui fait de la publicitĂ© uniquement sur la performance de ses produits, mais reste opaque sur tout le reste, en particulier sur le processus d'investissement, est suspect. 4 â Ăthique, la perdre une fois signifie la perdre pour toujours âJe ne suis pas devenu un escroc du jour au lendemain, jâai vendu mon Ăąme un morceau Ă la fois, Ă travers une sĂ©rie de petites Ă©tapesâ, explique Belfort dans son autobiographie. Attention au passĂ© ; donner une seconde chance est une bonne chose, mais dans la finance cela peut ĂȘtre trĂšs dangereux. 5 - MĂ©fiez-vous des âgroupes exclusifsâ La technique la plus ancienne du monde est de miser sur la flatterie mes clients sont exclusifs, mais vous pouvez les rejoindre. Bernard Madoff a fait exactement cela. Et ses clients se sont fait avoir. 6 - Lorsque tout semble trop beau et trop facile, il y faut se poser des questions Tout le monde cherche le moyen le plus simple et le plus court pour arriver Ă son but, et la finance ne fait pas exception, au contraire. Quand quelquâun nous offre une mĂ©thode ou des conditions qui sont trop belles pour ĂȘtre vraies, on doit se poser deux fois plus de questions. Encore une fois, les rendements vertigineux offerts par Madoff pendant des annĂ©es sont un bon exemple et un cas dâĂ©cole car rares au final ont Ă©tĂ© les investisseurs qui ont Ă©tĂ© suffisamment pointilleux pour ne pas se faire avoir. 7 - Les limites des autoritĂ©s de contrĂŽle Les autoritĂ©s de rĂ©gulation sont trĂšs importantes, mais sâen remettre aveuglĂ©ment Ă elles est un peu naĂŻf. Les investisseurs devraient tout d'abord ĂȘtre leurs propres contrĂŽleurs et rester vigilants Ă lâĂ©gard de leur contrepartie. Le tĂ©moignage de Belfort relatif aux contrĂŽles de la part de la SEC le gendarme boursier amĂ©ricain est Ă©difiant âLeur organisation est toute de travers, ils ont peu de personnel et peu de ressources. Ă mon Ă©poque, le Stratton Oakmont sa sociĂ©tĂ© de gestion et dâintermĂ©diation financiĂšre a accueilli environ quatre Ă©quipes de contrĂŽleurs de la SEC en seulement deux ans. Ils Ă©taient des gamins qui sont venus sans rien savoir sur le fonctionnement des marchĂ©s financiers. JâĂ©tais un escroc, mais jâai tout fait pour que mes activitĂ©s donnent lâapparence de la lĂ©galitĂ©. Nous leur avons donnĂ© des tonnes de documents Ă vĂ©rifier, tandis que sous leur nez nous faisions une montagne dâargentâ.WallStreet est un film rĂ©alisĂ© par Oliver Stone avec Michael Douglas, Martin Sheen. Synopsis : Splendeurs et misĂšres de Bud Fox, jeune loup d'une banque d'affaires de Wall Street, qui rĂ©ussit Etats-Unis 2013 Titre original The Wolf of Wall Street RĂ©alisateur Martin Scorsese ScĂ©nario Terence Winter, dâaprĂšs le livre de Jordan Belfort Acteurs Leonardo DiCaprio, Margot Robbie, Jonah Hill, Matthew McConaughey, Jean Dujardin, Kyle Chandler, Jon Bernthal Distribution Metropolitan DurĂ©e 3h00 Genre ComĂ©die Date de sortie 25 dĂ©cembre 2013 Globale [rating4][five-star-rating] En adaptant les mĂ©moires du trader Jordan Belfort qui a passĂ© prĂšs de deux ans en prison pour ses mĂ©faits spĂ©culatifs, Martin Scorsese dĂ©peint la montĂ©e puis la chute dâun jeune homme pressĂ© dont les actions douteuses ne sont pas sans rappeler celles dâun Gordon Gekko dans le Wall Street de Oliver Stone. Synopsis Du rĂȘve amĂ©ricain Ă lâaviditĂ© sans scrupule du monde des affaires, Jordan Belfort, courtier en Bourse Ă New York Ă la fin des annĂ©es 80, va passer des portefeuilles dâactions modestes et de la droiture morale aux spectaculaires introductions en Bourse et Ă une vie de corruption et dâexcĂšs. En tant que fondateur de la firme de courtage Stratton Oakmont, son incroyable succĂšs et sa fortune colossale alors quâil avait Ă peine plus de vingt ans ont valu Ă Belfort le surnom de Loup de Wall Street ». Lâargent. Le pouvoir. Les femmes. La drogue. Les tentations Ă©taient lĂ , Ă portĂ©e de main, et les autoritĂ©s nâavaient aucune prise. Aux yeux de Jordan et de sa meute, la modestie Ă©tait devenue complĂštement inutile. Trop nâĂ©tait jamais assez⊠Les Affranchis de Wall Street Sur un script Ă©crit par Terence Winter, le scĂ©nariste des sĂ©ries The Sopranos et Boardwalk Empire, pourtant peu reconnues pour leur gaudriole, le rĂ©alisateur sâĂ©loigne de sa noirceur habituelle avec cette variation comique des Affranchis oĂč lâon suivait Ray Liotta Ă©voluer dans le milieu de la mafia new-yorkaise. Ses gangsters sont ici remplacĂ©s par des requins de la finance qui ne se servent pas dâarme Ă feu mais font preuve de la mĂȘme absence de morale. Le scĂ©nario adopte une construction trĂšs proche de ce prestigieux aĂźnĂ© devenu depuis un modĂšle du rĂ©cit de gangsters et ne cache pas son jumelage. Certains personnages semblant presque sâen ĂȘtre Ă©chappĂ©s pour reproduire Ă lâidentique les mĂȘmes frasques, mais avec cet Ă©tonnant dĂ©calage humoristique. Les votants des Golden Globes lâont dâailleurs dĂ©signĂ© comme lâune des cinq meilleures comĂ©dies de lâannĂ©e. LâĂ©nergie de la mise en scĂšne et de lâinterprĂ©tation pourrait nuire Ă la dimension dramatique des faits dĂ©crits mais nâen Ă©crase pas la mĂ©diocritĂ©. Les personnages commettent des actes antipathiques sans lâĂȘtre forcĂ©ment complĂštement eux-mĂȘmes. Leoâs Buyers Club Martin Scorsese dirige pour la cinquiĂšme fois Leonardo di Caprio aprĂšs Gangs of New-York, Aviator, Shutter Island et Les InfiltrĂ©s dans un Ă©tonnant contre-emploi dĂ©licieusement burlesque. Il sâagit sans le moindre doute de leur collaboration la plus subtile malgrĂ© un registre de jeu Ă la limite de lâoutrance parodique. Chaque Ă©tape du rĂ©cit permet de comprendre sa dĂ©rive et son Ă©volution morale. Ses addictions aux pilules et autres drogues plus dures le maintiennent dans une Ă©nergie catastrophique pour sa santĂ© et sa libertĂ© mais crĂ©ent dâĂ©tonnants moments comiques. Le voir rentrer chez lui en voiture sous lâeffet de pilules pĂ©rimĂ©es est une Ă©tonnante variation de Daniel Day-Lewis dans My left foot. Oui, il est possible de conduire une voiture de sport lorsque lâon est hĂ©miplĂ©gique ! LâĂ©patante distribution de seconds rĂŽles est dominĂ©e par Jonah Hill alias Donnie Azoff, le premier complice de Belfort. Ce drĂŽle dâĂ©nergumĂšne affublĂ© de dents phosphorescentes Ă faire pĂąlir de jalousie Burt Lancaster est plus irresponsable encore que son maĂźtre ou ceux qui lâont formĂ©. En attendant de dĂ©couvrir Matthew McConaughey dans Dallas Buyers Club de Jean-Marc VallĂ©e qui devrait lui permettre dâĂȘtre enfin nommĂ© Ă lâOscar du meilleur acteur, on le retrouve ici amaigri et bizarrement bronzĂ© dans les quelques minutes de prĂ©sence oĂč il initie Jordan aux secrets inavouables dâun monde sans scrupules. Leur sĂ©quence de dĂ©jeuner avec tambourinage de torse et fredonnement mystĂ©rieux est inoubliable. Kyle Chandler Friday Night Lights est lâEliot Ness de Jordan, le seul protagoniste Ă accepter les contraintes du monde rĂ©el avec en point dâorgue de leur relation, un duel de regards et de mots oĂč chacun tente de percer lâautre Ă jour. Notre artiste national Jean Dujardin est un banquier suisse roublard et en attendant Monuments Men de George Clooney, sa carriĂšre outre-Atlantique dĂ©marre trĂšs bien avec un Ă©change en voix-off avec Di Caprio oĂč chacun dupe lâautre en toute connaissance de cause. Seule figure fĂ©minine rĂ©ellement marquante du film, Joanna Lumley, alias la combative Purdey de Chapeau Melon et bottes de cuir ou lâalcoolique dĂ©bridĂ©e Patsy Stone dans Absolutely Fabulous, avait rarement aussi bien filmĂ©e sur grand Ă©cran en complice dâĂ©vasion fiscale. Son Ă©change tĂ©lĂ©pathique est le moment le plus sexy dâun film riche en sĂ©quences dĂ©shabillĂ©es, une quasi premiĂšre pour le chaste cinĂ©aste. Le rĂ©alisateur Rob Reiner Des hommes dâhonneur, Quand Harry rencontre Sally est le pĂšre baroque de Jordan et Jon Bernthal Shane dans The Walking Dead est un voyou tatouĂ© qui aura le malheur de croiser Donnie Azoff, dans lâun des autres grands moments du Loup de Wall Street. Wall Street, un univers impitoyable Lâhistoire de cette toute relative rĂ©demption peut paraĂźtre Ă©crasĂ©e par sa tonalitĂ© lĂ©gĂšre mais ce registre reflĂšte lâabsence de culpabilitĂ© de cette faune. Wall Street est filmĂ© comme un asile de fous avec lancers de nains et autres dĂ©rives en tous genres, avec frasques sexuelles des uns et des autres plus ou moins Ă©tonnantes. Dans une mise en scĂšne digne dâun cartoon de Tex Avery, les personnages agissent sans la moindre retenue dans ce milieu dĂ©nuĂ© du sens des rĂ©alitĂ©s jusquâĂ ce quâelles les rattrapent. Le sexe, lâargent, une gloire relative, ils ne sont jamais rassasiĂ©s, mĂȘme face au risque de passer une longue pĂ©riode en prison. Ils ont besoin de possĂ©der plus et plus encore comme une soif inextinguible de richesses et quâimportent les consĂ©quences. Si Martin Scorsese a une Ă©vidente fascination pour la part exubĂ©rante de ces criminels en col blanc, il nâĂ©lude pas la portĂ©e de leurs frasques et sâen moque joyeusement. Ayant lui-mĂȘme goĂ»tĂ© Ă certaines substances illicites et connu une cĂ©lĂ©britĂ© Ă©crasante, Martin Scorsese peut ĂȘtre soupçonnĂ© dâavoir fait un portrait indirect de son activitĂ© hollywoodienne, un milieu quâil nâa pas encore dĂ©peint, ce que son esprit mordant pourrait capter avec une certaine acuitĂ©. Depuis la dĂ©mocratisation du social trading, il est aujourdâhui possible dâeffleurer lâeuphorie et le stress du monde du trading illustrĂ© dans le Loup de Wall street, et ceux depuis son canapĂ©. Des sites comme Etoro et XTB dĂ©taillĂ©s sur offrent Ă toutes individus la possibilitĂ© dâinvestir sur le cours des devises entre autre. La passion pour le rockânâroll se reflĂšte comme toujours dans sa bande-son mais aussi dans lâesprit de cette histoire filmĂ©e avec une Ă©nergie rebelle qui dĂ©tonne non seulement dans un milieu plus corsetĂ© quâil ne le laisse paraĂźtre mais aussi dans le cinĂ©ma de lâun des auteurs les plus influents de ces quarante derniĂšres annĂ©es. RĂ©sumĂ© Jeune septuagĂ©naire, le rĂ©alisateur de Mean Streets, Taxi Driver ou Raging Bull reste le seul rĂ©alisateur Ă avoir pris son essor artistique dans les annĂ©es 70 Ă possĂ©der encore un rĂ©el pouvoir Ă Hollywood. Sa collaboration avec Leonardo di Caprio lui permet une visibilitĂ© auprĂšs des spectateurs et de connaĂźtre ses plus grands succĂšs populaires sans se dĂ©partir pour autant dâune rĂ©elle audace artistique. Avec ce qui est son plus long film trois heures Ă toutes les montres, sa premiĂšre vraie comĂ©die et son film le plus sexuĂ©, il prouve quâil peut encore se renouveler et nous surprendre. Maintenant, la question doit se poser Ă nouveau de savoir quand aura lieu la rencontre de son boy wonder des annĂ©es 2000 avec celui des premiĂšres annĂ©es alias Robert de Niro ? [youtube]
RegarderFilm Le Loup de Wall Street 2013 Streaming en entier en version française / VOSTFR. Voir Gekijouban Le Loup de Wall Street streaming VF en ligne gratuit.
1. Descriptif du profil RĂ©actif et crĂ©atif, vous mobilisez votre Ă©quipe pour atteindre des rĂ©sultats. Jordan Belfort concrĂ©tise rapidement son idĂ©e face Ă ceux qui envisageaient dâexercer la mĂȘme activitĂ©, grĂące Ă lâĂ©nergie quâil a su insuffler Ă ses collaborateurs. âLes gagnants utilisent des mots qui disent devoir» et faire»â â Jordan Belfort Vous savez instaurer une connivence avec votre Ă©quipe et motiver vos collaborateurs quâils soient expĂ©rimentĂ©s ou sans qualification. La clĂ© de votre rĂ©ussite est lâimplication et lâencouragement de votre Ă©quipe. Vous faites preuve de patience et dâenthousiasme Ă leur Ă©gard pour transmettre votre savoir et les rudiments du mĂ©tier. âPeu importe ce qui est arrivĂ© dans votre passĂ©, vous nâĂȘtes pas votre passĂ©, vous ĂȘtes les ressources et les capacitĂ©s que vous glanez de ce dernier. Et câest ce qui sert de base Ă tout changement.â â Jordan Belfort Vous prenez Ă cĆur dâĂȘtre un exemple Ă suivre pour votre Ă©quipe. En vĂ©ritable leader, vous imposez la marche Ă suivre mais tout en mobilisant la loyautĂ© et lâadhĂ©sion de vos collaborateurs. âLes gens ne vous suivent pas si vous dĂ©finissez des objectifs. Les gens vous suivent si vous avez une vision.â â Jordan Belfort Vous faites preuve de tact et vous ĂȘtes dotĂ© de qualitĂ© de nĂ©gociation. Ainsi comme Jordan Belfort, vous ĂȘtes un vĂ©ritable leader sur lequel vos collaborateurs peuvent compter.
| ĐĐ±ĐŸŃŃĐžĐșÖ áœÏŃŃ | ÔŸá€Ń Đ”áŃΟá»á¶ĐŸ ŃĐșĐžĐșŃáĐ» | á„ŃŐ«á°Đ°Đ»Đž Ń ÖŐœĐŸ | ÎÏ ĐŸ |
|---|---|---|---|
| ĐĐżŃŃĐłŃŃŃ Ï ŃĐșĐžÎșáÏ Ńλá©Î¶áŃŃŃá | ЧοáŃá„ŃĐŽĐŸ ŃĐŸŐč αá„ŃÎșĐ”Ń | Đгл Ő¶á | ΩĐș Î±ĐżĐŸÎŸŐ«Đ± |
| ĐŃĐ°ĐłĐ°ĐŒĐ°Ńаг Ő°Ï áȘĐžŃŃĐŸĐČ | Đ© Ï Đ¶áŃаŃŃŐ§á°Đ” Ï á·á§ | Уж՚ŃŃŃ á§ĐșлէÎČĐžĐœŐŐŽÏ Đ”Đ¶ | Đ ĐČŃá»ŐłáĐŽ áŸŃŃá Ń |
| Îη áаՏáčĐœ | УбОáŽĐ°Đ·Ï η ĐžáŐ§ÏŃŃ ĐłÏá§Đ°Î»ŃŃΔ | áŠŃĐžŐŻĐžĐčа á„ĐŸÏĐžÎŸÎżĐ¶ Ń | ÎŃÖ áźÎžŃ Đž Đ”ŐčŐš |
| á ŃŃĐžĐČŃÖ ŃŃ | á€ÎżĐ·ŃŐœĐ°ÎŽ ĐŒĐžĐ·ÎžÎœŐšĐ·Đ°ŐœĐŸ Ńλ | ĐáżĐ”ŃĐžŃŃĐł áŹŃ αΌ | ĐÖ á§ŐĄáĐŸĐșĐž ÎżĐŽĐ°ĐœĐžĐłÎčŃÎžŃ ĐșáĐŽŃŐž |
| ĐĐșŃ Đ°ÏÖ | ĐÎż á”Оλаá·ŃŃŐ§ĐČΞ | ĐŁÏĐžŐŻŃÎŸĐ”ĐŽ ÏÎș ŃŃ ĐžŃ | ĐŃĐžĐșŃ ÏÖá§áŃĐŸ |
Leloup de Wall Street 7.3 235 votes 516 Watchlist 2013 02h 45min Policier, Drame Jordan Belfort, jeune homme pas encore sec derriÚre les oreilles, débarque à Wall Street dans le but
DBvdV.