Lescabalistes satanistes gérant la Matrice artificielle au sein de laquelle évolue l'Humanité ne laissent jamais rien au hasard quant à l'alphanumérisation des évènements et des personnalités publiques qui leur sont chers. Pour illustrer mes propos, le premier exemple est à mettre à l'actif de la journée internationale d'observation Siben N'Ser, fondateur de Planet Sushi - 22/05 Siben N'Ser, fondateur de Planet Sushi, était l'invité de Guillaume Paul dans Good Morning Business, ce vendredi 22 mai. Il est revenu sur la réouverture de Planet Sushi suite au déconfinement et le service pick and collect sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast. Du lundi au vendredi, de 6h à 9h sur le canal 23 de la TNT dans "Good morning business", Christophe Jakubyszyn, Faïza Garel-Younsi et les journalistes de BFM Business Nicolas Doze, Hedwige Chevrillon, Jean-Marc Daniel, Anthony Morel... décryptent et analysent l'actualité économique, financière et internationale. Entrepreneurs, grands patrons, économistes et autres acteurs du monde du business... Ne ratez pas les interviews de la seule matinale économique de France, en télé et en radio. BFM Business est la 1ère chaîne française d'information économique et financière en continu, avec des interviews exclusives de patrons, d'entrepreneurs, de politiques, d'experts et d'économistes afin de couvrir l'ensemble de l'actualité française et internationale. BFM Business vous propose aussi des conseils pour vos finances par des personnalités de référence dans les domaines du patrimoine, de l'immobilier ou des marchés financiers. Retrouvez tous les jours Christophe Jakubyszyn, Faïza Garel-Younsi, Nicolas Doze, Hedwige Chevrillon, Jean-Marc Daniel, Anthony Morel, Guillaume Sommerer, Cédric Decoeur, Karine Vergniol, Grégoire Favet, Sébastien Couasnon, Emmanuel Lechypre, Benaouda Abdeddaïm, Stéphanie Coleau... BFM Business est disponible en direct radio, en direct télé ainsi qu'en direct et replay sur - - Derniers podcasts Good Morning Business
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Siben N'Ser livre les dessous du tournage... Ce mardi 9 janvier 2018, M6 diffuse un nouveau numéro de Patron Incognito à 21h. Lors de ce nouvel épisode, Siben N'Ser, fondateur de la chaîne de restaurants Planet Sushi, s'est glissé dans la peau d'un employé. Une expérience dont il révèle les dessous à nos confrères de Télé Loisirs. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que pour celui qui sera tour à tour livreur, serveur et commis de cuisine, le tournage n'a pas été de tout repos. "C'était très dur, très intense ! Nous avons tourné l'an dernier entre juin et juillet", confie-t-il. Durant tout ce temps, Siben N'Ser a été coupé de ses proches "J'étais en immersion avec la production pour rester dans mon rôle." "À la télévision, on ne suit que trois immersions, mais nous avons tourné des séquences non diffusées, poursuit-il. Aussi, chaque journée nécessite plusieurs jours de tournages, pour faire des repérages puis pour capter les passages où je suis face caméra pour commenter mes faits et gestes. Quand je rentrais à l'hôtel le soir, je tombais comme une mouche." Lors de ce même entretien, le patron des restaurants asiatiques Planet Sushi revient sur sa transformation. Car, pour mener à bien sa mission, il a dû se grimer dans le but de ne pas être reconnu par ses employés. Une transformation physique réussie... ou presque ! Après six heures de maquillage, Siben N'Ser était "dégoûté de l'image qu'[il] renvoyait". "Ils m'avaient fait une tête qui ne ressemblait plus à grand-chose. Sur les réseaux sociaux, les gens disent 'C'est Cyril Hanouna dans Patron Incognito !'" Et d'ajouter "Comme on m'a teint en blond durant un mois, j'ai perdu beaucoup de cheveux. Je mets des lotions tous les jours pour qu'ils repoussent." Rendez-vous ce mardi 9 janvier 2018 dès 21h sur M6 afin de suivre les aventures de Siben N'Ser dans Patron Incognito.

Crééen 1998 par Siben N’Ser, jeune entrepreneur, le concept de a depuis séduit des centaines de milliers de consommateurs. Planet Sushi c'est aujourd'hui 2
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24avis, informations de contact et horaires d'ouverture de Planet Sushi à 42 bd Jean Jaurès, Nice. Consulter les adresses proches sur une carte. Laisser un avis. Connexion. Français Sushi (Nice) Planet Sushi. Planet Sushi. Nice, France. 3 24 avis. Accepte les cartes de crédit. Contacts Horaires Avis (24) Lieux apparentés Obtenir le trajet Page des photos . Contacts.
Point de vue du franchiseur ou de la tête de réseau La franchise Planet Sushi est une franchise de sushi fondée en 1998. L’enseigne se développe en franchise, elle compte aujourd’hui plus de 60 points de vente implantés dans plusieurs pays – France, USA, Espagne, Maroc – Cette franchise de restauration rapide recherche des entrepreneurs, des commerçants, des managers dynamiques et impliqués. En retour elle promet de les accompagner et de les assister dans la réalisation de leur projet. Comme toujours, notre conseil est de rencontrer des franchisés anciens pour vérifier s’ils sont satisfaits, du concept, des services, du profit et, important, du style de management du réseau. Siben N’Ser, Fondateur de la franchise Planet Sushi, revient pour nous sur le concept de cette franchise de sushi. Interview vidéo AC Franchise Planet Sushi réalisée en 2011 Siben N’Ser La franchise chez Planet Sushi est une question de professionnalisme. Nous recherchons dès le départ des gens soucieux et conscients du travail qu’il peut y avoir à faire dans la restauration. Il n’y a pas de capitaux extérieurs dans le groupe, tout a été à 100% développé en propre. Qu’est ce que nous pouvons donner comme garanties et accompagnement au franchisé ? Chez nous la cuisine est une problématique dans le développement. A travers cette problématique nous avons su trouver certaines solutions dans un premier temps, pour pouvoir amener nos franchisés vers une structure saine. Nous demandons 40 000 euros de droit d’entrée ce qui est très raisonnable vu toute la formation que nous offrons au franchisé avant et après l’ouverture, le suivi, le marketing, la communication. Ce sont des années d’expérience que nous mettons à la disposition du franchisé ainsi qu’un suivi juridique et autres. Il y a tout un package dès le départ. Nous demandons 100 à 150 mille euros d’apport puis nos banques se chargent du reste. Il n’y a que le sushi de base qui peut faire de nous des concurrents ou des confrères. Pour les autres produits, nous sommes compétemment différents, nous avons occidentalisé à notre façon le sushi. Nous pouvons implanter un de nos restaurants dans un quartier et un autre à deux numéros plus loin, les deux marcheraient. Si des entrepreneurs souhaitent se lancer dans un projet, ils peuvent frapper à notre porte, je les invite à aller manger chez nous, à consulter nos restaurants avant de venir nous voir. Nous serons toujours prêts à les accueillir ».
SibenN'Ser, le propriétaire de Planet sushi peut enfin La population chinoise appelée à stocker la nourriture La police arrête une femme pour avoir menacé de mettre le feu à Wit Studio. 4 5 2364 2 Mitsuka Souji le 28/05/2021 à 09:49 - Quotidien. La police du commissariat de Musashino à Tokyo a annoncé qu'elle avait arrêté une femme de 25 ans
Publié le 09/01/2018 à 0700 M6/21 HEURES - Siben N’Ser, fondateur de la chaîne de restaurants, a testé, en anonymat, la plonge, les métiers de livreur, de serveur polyvalent et de commis en cuisine. M6 diffuse ce mardi 9 janvier, en prime time, un inédit de Patron incognito. Siben N’Ser, 41 ans, PDG de Planet Sushi, s’est infiltré pendant trois jours, sous une fausse identité, parmis ses est diffusée l’année même des 20 ans de votre marque hasard du calendrier?Patron incognito est un vecteur de communication fort et propice pour l’année de nos 20 ans, cela tombe bien, c’est vrai. Mais ce n’est pas mon idée, cela m’a été proposé par la production. J’ai immédiatement dit oui, car j’en rêvais depuis Parce que Patron incognito est de loin la seule émission à laquelle cela vaut la peine de participer en tant que PDG, et pourtant j’en ai fait près d’une cinquantaine en vingt ans, comme Capital, Vis ma vie, etc. Là, on est confronté à la réalité du travail. Planet Sushi, ce sont avant tout des hommes et des femmes, notre ADN c’est l’humain et cette émission nous permet de le passage en tant que livreur aux côtés de Nasryn, dont la conduite est à risques, voire dangereuse, interpelle…La sécurité et la conduite de mes livreurs sont ma préoccupation quotidienne. Hélas, certains ne nous écoutent pas, alors que l’on a instauré un certain nombre de règles et de sanctions. En vingt ans, on a eu un décès et un jeune dans le coma… Vivre des deuils dans une entreprise c’est dramatique. Les livreurs seront bientôt en vélos électriques, plus écolos et moins dangereux que les scooters »Siben N’Ser, Siben N’Ser, PDG fondateur de Planet SushiQuelles décisions avez-vous prises à ce sujet après l’émission? Les livreurs seront bientôt en vélos électriques, donc moins rapides, plus écolos et moins dangereux que les scooters à essence. La première flotte arrive chez nous fin mars. Nous faisons, pas à pas, des efforts pour sécuriser nos à l’émission, vous avez découvert et promu deux pépites, Eteil et Fanny cela vous donne-t-il envie de continuer à rechercher de telles perles?Complètement. Avec la DRH, on a fait un audit social pour lancer des sujets de développement où l’on pourrait faire participer les jeunes de notre entreprise. Quand on voit des employés comme Eteil et Fanny, on se dit qu’on n’a pas besoin d’aller chercher ailleurs puisque chez nous on a tout à portée de main! Il y a vingt ans, c’était au cœur de la progression même de Planet Sushi, certains anciens livreurs ou assistants managers sont par exemple devenus des patrons de premier resto à 21 ansSiben N’Ser, PDG de la franchise Planet Sushi, a inauguré en 1998, à 21 ans, son premier restaurant japonais dans le XVIe arrondissement de Paris. Trois ans plus tard, il en ouvrait un deuxième. À présent, il possède plus de 70 établissements, en France mais aussi dans le monde Miami, Ibiza, Casablanca, Monaco, Marrakech et bientôt Bruxelles, pour un chiffre d’affaires de plus 80 millions d’euros en 2016. Prochaine diffusion à la TV
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Ledéposant est N'SER SIBEN domicilié(e) 93 AVENUE KLEBER - 75116 - PARIS - France. Lors de son dernier renouvellement, il a été fait appel à un mandataire, M. N'SER SIBEN domicilié(e) 6 RUE SAULNIER - 92800 - PUTEAUX - France. La marque BLUE MARLIN a été enregistrée au Registre National des Marques (RNM) sous le numéro 3669554.
Il n’avait que 20 ans lorsqu’il a fondé Planet Sushi. En 1998, l’enseigne devient leader de la restauration japonaise. Elle compte aujourd’hui 70 restaurants en France et à l’étranger. Récit d’une success story dont le concept de “Japan fusion food” séduit autant que la persévérance de son fondateur. A 40 ans, Siben N’Ser est un patron nouvelle géné­ration iconoclaste, du genre “hyperactif décontracté”. Il passe encore ses journées au siège de son entreprise, en banlieue parisienne, à superviser, réfléchir, innover, avec son staff de trentenaires, sorte de garde rapprochée dont il ne se sépare jamais. Depuis la création de Planet Sushi, il y a vingt ans, le jeune entrepreneur plein d’ambition est devenu le numéro 2 du marché, et il a, comme il le concède avec une humilité maîtrisée, “plutôt bien réussi dans le business”. La maturité aidant, il revendique aujourd’hui la qualité plutôt que la quantité, et souhaite “prendre le temps de bien faire les choses”. Un hommage à Planet Hollywood Car ce quadra, d’origine marocaine, a l’entrepreneuriat chevillé au corps. Son modèle inspirant, c’est celui de sa mère, laquelle avait déjà ouvert plusieurs salons d’esthétique lorsqu’elle décida de se lancer dans le commerce de l’huile d’olive. Siben N’Ser le confie, “c’est dans mes gènes. Petit, déjà, je me voyais dans les affaires”. Sa trajectoire de dirigeant est d’autant plus méritoire qu’il a fait son entrée dans le monde impitoyable des affaires et du marketing sans études préalables, à la fin des années 1990, une époque où les jeunes entrepreneurs étaient tous déterminés à devenir de grands ­manitous du business. “A 18 ans, je me suis lancé sur le marché de la téléphonie mobile, qui était en train d’exploser. Au bout d’un an, j’ai tout arrêté. Je m’ennuyais. J’avais ­envie de relever des défis plus grands et d’être précurseur de quelque chose”, explique-t-il. Et qui cherche, trouve. Le créneau porteur, ce sera ­celui des sushis. “En France, le poisson cru, personne n’en mangeait. Et tout le système de la vente à emporter et de la livraison était complètement à revoir. Mon vrai modèle, pour son côté grande chaîne internationale, c’était Planet Hollywood. Le choix du nom de mon enseigne est une sorte d’hommage.” Ainsi est née Planet Sushi, avec au départ l’association d’un ami et l’apport de 15 000 euros chacun en fonds propres, pour l’ouverture du premier ­restaurant dans le XVIe arrondissement de Paris. Les débuts sont très prometteurs. L’enseigne enregistre dès la première année 3 millions de francs 500 000 euros de chiffre d’affaires. De quoi booster les ambitions… Mais, ironie du sort, la même année, au même endroit, naît l’autre futur leader de la restauration nippone, Sushi Shop, avec sa tête Grégory Marciano, le frère ennemi que Siben N’Ser connaît depuis des années. “On a eu la même idée au même moment, mais si on se dispute la place, on se respecte”, ajoute-t-il, forcément fairplay. Peu à peu, malgré la concurrence, ses restaurants se développent. A Paris, en province puis à l’étranger, comme à Monaco, Miami Beach et dernièrement Bruxelles. Mais aussi, et surtout, au Maroc, à Casablanca et à ­Marrakech. Des sushis et des ramens soupes au Maghreb ? Siben N’Ser y a cru dès le début “Les ­Marocains sont très ouverts. Ils adorent l’idée de voyage à travers les saveurs.” Sa prochaine cible ? Le ­Qatar, mais il veut prendre le temps d’asseoir sa marque. “Je ne suis plus pressé. Les choses se font toujours en temps voulu, c’est aussi ça le secret de la longévité de Planet Sushi.” 90 millions de chiffre d’affaires en 2017 Il faut dire qu’avec ses 70 établissements, dont 42 franchisés, 3 500 salariés et 90 millions de chiffre d’affaires en 2017 dont 60 % en livraison, le PDG, sans être revenu de tout, est tout de même un peu rompu à l’exercice. Son atout majeur, c’est l’ouverture réussie de son enseigne à la franchise lire p. 45. Il a su prendre ce risque en pleine explosion de la crise financière, début 2009, une période paradoxalement faste pour Planet Sushi. L’engouement pour la franchise fut tel que les demandes d’ouverture de restaurants ont alors ­afflué. “Pourtant, je n’y croyais pas vraiment, précise Siben N’Ser. Des exemples, il y en avait peu en France. Et puis comme j’ai beaucoup de mal à déléguer, je craignais qu’on entache le nom de Planet Sushi avec des problèmes récurrents ­d’hygiène, ou de sécurité…” Mais il l’a fait. ­ Aujourd’hui, son enseigne affiche plus de 40 unités franchisées. Ses équipes les supervisent dans les moindres détails comptes, communication, digitalisation… En près de dix ans, là où de nombreuses franchises de la restauration rapide ont dû mettre la clé sous la porte, le seul raté de Planet Sushi a été le restaurant du Havre, qui a depuis fermé. “On ne signe jamais de franchise à la va-vite. Cela demande un temps d’étude et d’analyse. Le franchisé reçoit d’abord une formation de douze semaines dans tous les domaines cuisine, ­finance, livraison… Chez nous, c’est devenu une expertise.” A ceux qui estiment que Siben N’Ser a eu beaucoup de chance dans les affaires, il répond qu’il a pris des risques, qu’il a eu du flair et qu’il a, lui aussi, connu des difficultés. La tempête du plan de sauvegarde qu’a connu le groupe en 2013, a été un point d’étape important pour démontrer ses compétences et sa capacité à mener sa barque. Après avoir racheté ses parts aux actionnaires qui détenaient 50,8 % du capital, il est redevenu à 100 % propriétaire de sa marque. Une indépendance retrouvée qu’il tient à conserver coûte que coûte. Cap sur la “phygitalisation” Homme de son temps, Siben N’Ser mise aujourd’hui sur ce qu’il appelle “l’évolution naturelle de son entreprise vers la phygitalisation’”. Une formule savante, contraction de physique et digital, pour signifier la ­fusion d’une boutique avec pignon sur rue et la vente en ligne. Pour célébrer son 20e anniversaire, la marque vient de s’offrir un nouveau logo et une baseline résolument “plus nippone et tendance”. Mais, désormais, ce qui stimule l’homme d’affaires aguerri, c’est son prochain défi. Il revient tout juste de Tokyo avec en tête un nouveau concept, lequel verra le jour au premier ­semestre 2018, “aussi révolutionnaire que Planet Sushi il y a vingt ans”, promet-il impatient. Il n’y a pas que les sushis qui font recette… MAGAZINE FEVRIER 2018 LA SUITE DE LA SERIE ECONOMIE LA NOUVELLE RESTAURATION Laurent Hirgorom La franchise, c’est un métier » Théodore Timboussaint Hal’rezo Le halal est en pleine expansion »
TheRosicrucians Their Rites and Mysteries - Free ebook download as PDF File (.pdf), Text File (.txt) or read book online for free.
05 janvier 2016 0 DÉNICHÉ SUR LE WEB Le sushi et les Français, une drôle d’histoire, cette spécialité japonaise à très vite séduit les consommateurs, aussi vite qu’ils la délaissent. Nous vous l’avions annoncé il y a quelques semaines sur F&S, le sushi était en peine sur le marché français après avoir battu tous les records. Le quotidien Le Parisien s’est intéressé aux deux gros porteurs du secteur en France … Lisez-ci dessous ou cliquez sur le LInk pour retrouver l’article dans son intégralité. Les frères ennemis ont du sushi à se faire Les fondateurs de Planet Sushi et Sushi Shop viennent du même quartier. Vingt ans après leurs débuts, ils peinent à surmonter la crise du secteur. Dans la petite galaxie du sushi qui ne brille plus beaucoup, ils sont les deux qui comptent encore. Les deux entrepreneurs quadras qui ont propulsé la boulette de riz au poisson cru dans la restauration rapide française à la fin des années 1990. Et qui se disputent tous deux vingt ans plus tard le titre de roi français du sushi, aux côtés d’une myriade de petits indépendants, qui représentent 90 % des 1 500 restaurants japonais recensés en France. D’un côté, Grégory Marciano, président fondateur de l’enseigne Sushi Shop et ses 110 points de vente, de l’autre Siben N’Ser, celui de Planet Sushi, avec 70 restaurants. Hasard de la vie, les deux concurrents sont de vieilles connaissances. Grégory et Siben ont des amis en commun, ils ont grandi dans le même quartier, le chic XVIe arrondissement parisien où ils ont fréquenté la même école. On se croise encore parfois », glissent évasivement l’un et l’autre. Ils prétendent tous deux avoir eu l’idée d’ouvrir un point de vente de sushi la même année, 1998, et grosso modo au même endroit. A l’époque, c’était révolutionnaire. 2 % des Français mangeaient du poisson, alors imaginez, du poisson cru ! rappelle Siben N’Ser. On ne mangeait des sushis qu’à Paris, dans des restaurants très chers tenus par des puristes japonais. » Ils misent sur l’étranger Les deux self-made-men assurent être en excellente santé économique aujourd’hui. Vraiment ? La vérité, c’est que les deux se portent mal en France et sont obligés de fermer quelques points de vente », assure Bernard Boutboul…. Planet Sushi est d’ailleurs sorti récemment d’une procédure de sauvegarde. Ce sont les deux plus solides mais le marché vivote. Il y a eu un pic vers 2010, mais aujourd’hui, des enseignes souffrent ou revoient leurs ambitions à la baisse. » Derrière la lutte des enseignes, donc, l’ombre de la crise de la boulette de riz made in France. Le soufflet japonais est monté très vite puis est redescendu. On ne sera jamais des fous de sushi. Les Français préfèrent encore la nourriture plaisir à la nourriture saine. La volaille ou la viande rouge, le gras, le sucré ». Contrairement aux Anglo-Saxons, ces férus d’hygiène et de bio, vers lesquels se tournent désormais nos deux rois français déchus. A New York et Miami, pour Planet Sushi. A Londres, pour Sushi Shop. Les deux PDG misent sur l’étranger quand les Français se tournent désormais vers la grande distribution pour manger japonais. C’est la grande surprise. Les 330 corners de sushis que vient d’ouvrir Carrefour cet automne font un carton. C’est donc par l’hypermarché que le sushi est en voie de devenir un produit de masse en France. » assène Bernard Boutboul Source Le Parisien – Gira Conseil – Copyright – REA/Denis Allard. Le Figaro »/Jean-Christophe Marmara. VOTRE CLASSEMENTMmmm interessant 75%Je suis fan 25%Amusant décalé 0%Inquiétant 0% VOUS AIMEREZ AUSSI PqPOc.
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